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dimanche 25 mars 2012

Agriculture biologique: les paysans s'organisent.

Amis lecteurs,
Voici un article de Ouest-France des 24-25 mars 2012 qui met en lumière la volonté des agriculteurs, pour développer le bio.  Ces travailleurs de la terre dans de bonnes conditions méritent des encouragements et surtout une politique agricole qui favorise la conversion des agriculteurs non bio, vers la filière bio.
Que fera le futur président? Pour l'actuel, d'après l'article, les objectifs du grenelle, fixés à 6% n'ont pas été atteints.
Bonne lecture.

Ouest-France 24-25 03 2012





Ouest-France 24-25 03 2012

samedi 24 mars 2012

Echange tendu entre Stéphane Guillon et Audrey Pulvar

Amis lecteurs,
Voici une séquence de "On n'est pas couché" glanée sur Planet Week-End qui relate un


Echange tendu entre Stéphane Guillon 

et Audrey Pulvar







Le 19/03/2012 - 

Invité samedi soir d'On n'est pas couché sur France 2, Stéphane Guillon n'a pas épargné Audrey Pulvar, chroniqueuse de l'émission. 

La journaliste n'est pas restée muette face aux attaques. Planet.fr vous propose de (re)découvrir ce moment.
L'humoriste Stéphane Guillon et son épouse étaient présents samedi soir sur le plateau de l'émission On n'est pas couchésur France 2 afin de présenter le livre "Je me suis bien amusé, merci", évoquant le départ controversé de Stéphane Guillon de France Inter.
D'emblée, l'humoriste attaque Audrey Pulvar et Natacha Polony en affirmant "Je préférais les originaux (Eric Naulleau et Eric Zemmour, ndlr), je les trouvais plus cash. Zemmour n'a pas d'a priori". Audrey Pulvar ne se démonte pas et répond alors : "Ce qui serait bien, c'est qu'il nous regarde dans les yeux quand il dit ça, au lieu de regarder ses chaussures".
"Ca se voit trop quand vous n'aimez pas"
Peu après, alors que le sujet du livre de Stéphane Guillon est enfin évoqué, Audrey Pulvar reproche à l'humoriste de n'avoir qu'une vision "très partielle" de son éviction de France Inter. Il réplique alors que la journaliste est salariée de cette radio et qu'elle est "habituée des positions délicates [...] Ca se voit trop quand vous n'aimez pas".
Puis, Stéphane Guillon revient sur l'interview de Jean-François Copé la semaine précédente dans la même émission : "C'est la seule fois où j'étais de son côté [...] Ca se voyait tellement que vous vouliez vous le faire que vous avez perdu votre force, notamment sur Ziad Takieddine (Audrey Pulvar avait reproché à Jean-François Copé d'être parti en vacances avec l'homme controversé). C'était un argument extraordinaire et si vous l'aviez bien préparé, il aurait été obligé de vous répondre".
Audrey Pulvar conclut l'échange par un bref "Merci pour cette leçon de journalisme".
Découvrez ce moment en vidéo : (montage PureMédias) :


Dépassements d'honoraires: qui perd et qui gagne!

Amis lecteurs,
 vous trouverez ci-dessous, une analyse du décret du  21 mars 2012, qui impose aux mutuelles de rembourser les dépassements d'honoraires. il a été communiqué par le secrétaire départemental de Vendée de la FGRFP.
Il s'agit de faire plaisir à qui. Devinez? et en cette période électorale,soyez vigilants . 


La mesure, parue discrètement jeudi au Journal Officiel sous forme d'un décret et d'un arrêté (Décret n° 2012-386 du 21 mars 2012 relatif au contenu des contrats d'assurance maladie complémentaire bénéficiant d'aides fiscales et sociales) entre immédiatement en application et oblige les complémentaires santé (mutuelles, assurances, institutions de prévoyance) à rembourser aux patients des dépassements d'honoraires plafonnés à 50% au-dessus du tarif Sécu.
Sont concernés les dépassements pratiqués par des médecins spécialistes de bloc opératoire (chirurgiens, anesthésistes, obstétriciens) qui sont actuellement en "secteur 2", c'est-à-dire qui sont autorisés à demander plus à leurs patients que le tarif remboursé par l'assurance maladie, contrairement a leurs confrères, les plus nombreux, exerçant en "secteur 1".
Ces praticiens qui le souhaitent vont pouvoir opter pour un nouveau secteur, que l'on appelait jusqu'ici "secteur optionnel" et désormais "option de coordination élargie". S'ils limitent leurs dépassements à 50% du tarif Sécu pour 70% de leurs actes techniques, l'assurance maladie prendra en charge leurs cotisations sociales (santé, retraite, etc...) sur les 30% des actes qu'ils devront continuer à effectuer au tarif opposable.
De plus, ces praticiens sauront que leurs dépassements ainsi plafonnés seront systématiquement remboursés par les complémentaires santé de leurs patients, alors qu'actuellement celles-ci appliquent leur propre politique de remboursement, plus ou moins généreuse.
Le décret signé par le Premier ministre François Fillon contraint les contrats santé dits "responsables", c'est-à-dire plus de 90% de ceux proposés par les complémentaires santé, d'inclure le remboursement de ces dépassements plafonnés.
L'arrêté, signé du ministre de la Santé Xavier Bertrand, complète un article de la Convention médicale signée en juillet 2011 par l'assurance maladie et des syndicats de médecins libéraux et fixe à 50% le dépassement autorisé pour les praticiens de bloc choisissant "l'option de coordination".
S'ils ont été publiés en toute discrétion, ces textes officiels ont suscité de nombreuses réactions, toutes très critiques.
La Mutualité française, fer de lance de l'opposition au "secteur optionnel", a dénoncé cette mesure. Son président Etienne CANIARD a évoqué "une obstination déraisonnable du gouvernement".
En conclusion : les mutuelles vont augmenter leurs tarifs et je vous laisse deviner qui, au final, paiera ce cadeau électoral...
Faites circuler l’information !

vendredi 23 mars 2012

François HOLLANDE EST SEREIN

Amis lecteurs,
Voici un bon article de Libération du 24 mars relative à la campagne de François HOLLANDE; Il apparait serein malgré les attaques qui fusent de la part de l'actuelle majorité.



Libération des 24 - 25 mars 2012

jeudi 22 mars 2012

Yannick Noah et les 75% d'imposition

Amis lecteurs,
Voici un article du Nouvel Observateur,  intéressant (enfin pour certains).


Yannick Noah monte au filet pour les 75% d'imposition

Créé le 16-03-2012 à 11h02 - Mis à jour à 14h40    

"C'est très bien car c'est le moment où il faut aider ceux qui sont en bas", approuve l'ex-tennisman. 


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Yannick Noah fait face à ses responsabilitrés... et à ses ennemis politiques. (BENAROCH/SIPA )
Yannick Noah fait face à ses responsabilitrés... et à ses ennemis politiques. (BENAROCH/SIPA )
SUR LE MÊME SUJET
La droite fait rire Yannick Noah et les 75% n'entament pas son capital d'optimisme. C'est donc en ouvrant un beau sourire sur ses dents du bonheur que le chanteur sympathisant de François Hollande s'est exprimé sur la taxation de ceux qui gagnent plus d'un million d'euros.
Dans une interview accordée à nos confrères de BFMTV, l'ex-tennisman approuve en ces termes les 75% : "C'est très bien car c'est le moment où il faut aider ceux qui sont en bas. Il y en a qui ont beaucoup, il y en a qui ont beaucoup trop, moi j'aimerais en avoir beaucoup plus. Mais d'un autre côté, il y a un moment où il y a beaucoup trop d'inégalités. Et c'est juste, c'est tout à fait juste."

Détracteurs

Seulement, la situation fiscale de Yannick Noah a été une arme argumentaire souvent dégainée face à l'homme le plus populaire de France. Ce qu'avaient rappelé ses avocats en expliquant que "depuis que Yannick Noah a participé au meeting de François Hollande au Bourget, il a fait l'objet d'attaques violentes, notamment de la part de Monsieur Pierre Charon (sénateur) et de Madame Valérie Rosso-Debord (députée et déléguée générale adjointe de l'UMP), qui l'ont traité successivement de 'délinquant fiscal' et de 'fraudeur'".
Me William Bourdon et Me Alain Sarrazin avaient annoncé le dépôt d'une plainte, alors que Valérie Rosso-debord avait déclaré : ""Un homme qui prétend être irréprochable en matière notamment fiscale et qui fait intervenir en première partie de son meeting un chanteur qui doit 580.000 euros au fisc français n'est pas crédible."
Dans cette interview à BFMTV, Noah renvoie la balle à ses détracteurs : "J'ai habité en Suisse en 91, en 92 et en 93, voilà. J'ai eu un petit moment de doute après ma carrière où j'avais peur de mon avenir. Voilà, j'ai fait ça pour faire des économies. Et depuis, je suis revenu en France. Je suis là depuis près de 20 ans. Avant ça, pendant toute ma carrière de joueur de tennis, j'étais fiscalement en France." Il avait à cet égard contesté pour un lourd contrôle fiscal devant le Conseil d'Etat et promis de payer si telle était la décision finale. Ce qui n'avait pas empêché Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy de se servir également de son cas pour tacler Hollande lors d'interventions télévisées. 
"Je me fais attaquer, dit Noah. C'est de bonne, guerre, hein ? Mais, pour moi, ce qui compte, c'est l'avenir. Moi, je ne sers à rien. C'est l'avenir qui compte. Je ne suis pas grand-chose et mon problème personnel n'a pas d'importance. C'est vrai que je me suis fait bien éclabousser depuis quelque temps et par tout le monde, vraiment avec une vraie mauvaise foi. Et ça veut dire qu'il y a un vrai doute en face : quand on a plus rien d'autre à dire que de s'attaquer à moi, c'est que c'est la fin des haricots. C'est une bonne chose. Continuez à parler de moi !"

mardi 20 mars 2012

L'immigration : une chance pour la France

Amis lecteurs,
cet article du JDD, signé par des personnalités de tous bords, y compris de l'UMP, est un joli pavé dans le jardin du FN , de Mme LE PEN et du zélé "refouler" de sans papiers.
Bonne lecture et merci à Jean Paul qui m'a fourni l'article ci-dessous.


samedi 10 mars 2012

Retraites: quelle hausse au 1er avril 2012

Amis lecteurs retraités,
Vous trouverez ci-dessous un article sur les prévisions de hausse des retraites au 1er avril. Il a été glané sur un site: AIDES FAMILLES.
Voici le lien ci-dessous

http://aidefamille.fr/actualite/retraites-une-hausse-possible-de-1-8-au-1er-avril-2012-142.html


Retraites : une hausse possible de 1,8 % au 1er avril 2012
Article publié le 28/02/2012 à 17:09
Aux vues des prévisions d'évolution de l'inflation ces prochains mois et en accord avec la formule de revalorisation en vigueur, le montant des pensions retraites de la CNAV pourrait augmenter de 1,8 % au 1er avril 2012.
Une revalorisation de 1,8 % minimum au 1er avril
Depuis 2009, les pensions retraites sont revalorisées chaque année le 1er avril en fonction des différentes prévisions d'évolution de l'inflation établies par la Commission économique de la nation (CEN).
Les chiffres définitifs sont validées au mois de mars sur la base de l'évolution de l'inflation de l'année précédente.
Selon les dernières prévisions, les pensions retraites de base des salariés, autrement dit celles versées par la branche "retraite" de la sécurité sociale, la Caisse nationale d'assurance vieillesse (CNAV) pourraient ainsi augmenter a minima de 1,8 %.
En parallèle les prestations versées par les régimes complémentaires des salariés et cadres pourraient, elles, augmenter de 2,1 %. Ces dernières sont versées respectivement par l'association pour le régime de retraite complémentaire des salariés (ARRCO) et l'association générale des institutions de retraite complémentaire des cadres (AGIRC).

Une inflation plus forte que prévue

Selon les experts, ces différentes revalorisations pourraient même être plus élevées qu'annoncée précédemment.
Les taux de revalorisation annoncées prennent tiennent en effet compte des prévisions d'inflation telles qu'elles ont été annoncées par le gouvernement, à savoir une hausse des prix à la consommation de 1,5 % en 2012.
Or, ces derniers jours, la Commission européenne a revu à la hausse ses prévisions pour l'Europe. Selon la Commission, l'indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) devrait ainsi croître de 2,3 % dans l'Union Européenne (UE) et de 2,1 % dans la zone euro contre 1,7 % auparavant.
Sauf surprise, la Commission économique de la nation devrait prendre en compte ses dernières données et revoir à la hausse ses propres prévision en mars, induisant de fait une revalorisation plus prononcée des versements de l'ARRCO et de l'AGIRC.

samedi 3 mars 2012

Bravo à Claude ONESTA

Amis lecteurs,
vous trouverez ci-dessous, une interview du sélectionneur de l'équipe de France de Handball, parue dans Libération .fr. Il remet les choses à leur juste place.


Onesta : «Les impôts, cela ne tuera pas le foot»

Claude Onesta, l'entraîneur des Bleus, lors du match contre le Danemark, le 30 janvier 2011 à Malmö.
Claude Onesta, l'entraîneur des Bleus, lors du match contre le Danemark, le 30 janvier 2011 à Malmö. (© AFP Franck Fife)

INTERVIEWFiscalité. Le sélectionneur de l’équipe de France de hand réagit au projet de taxation de François Hollande.

Par GRÉGORY SCHNEIDER
Le projet de taxation à 75% au-dessus du million d’euros de revenus annuels défendu par le candidat socialiste à la présidentielle, François Hollande, a fait réagir le monde sportif. Le président de la Ligue de football professionnel, Frédéric Thiriez, y voit «la mort programmée des équipes françaises», une cinquantaine de joueurs concernés pouvant, selon lui, être tentés d’aller exercer leur art sous des cieux plus cléments fiscalement. Le sélectionneur de l’équipe de France de handball, Claude Onesta (56 ans), plus grand palmarès du sport collectif français (deux titres mondiaux, un titre olympique), n’est pas du même avis.
Que pensez-vous de ce projet ?
Je ne suis ni fiscaliste ni économiste. On m’a aussi expliqué, depuis l’annonce, que l’impact d’une telle mesure sur la dette du pays est négligeable. Reste le symbole. Je crois comprendre que la crise est devant nous. Les revenus baissent, le chômage grimpe, les gens galèrent pour se nourrir, se loger décemment, se soigner. Et on préserverait les plus riches ? Les joueurs de foot ne seraient pas touchés ? L’impôt, c’est un rendez-vous citoyen, des crèches, des écoles : en aucun cas une confiscation ou une sanction. Je répète un truc depuis des années : le sport de haut niveau n’a d’intérêt qu’à partir du moment où l’exemplarité est présente dans le tableau.
Et l’affaiblissement des équipes soumises à une concurrence internationale ?
Mais cela fait des années que les clubs ne sont plus compétitifs en Ligue des champions ! Au lieu de se faire éliminer en quarts de finale, ils se feront peut-être éliminer en huitièmes, pour ce que ça change… Après, cela ne tuera pas le foot. Vous aurez toujours un championnat de Ligue 1, un premier, un dernier, de bonnes audiences télés… Des clubs anglais sont au bord de la faillite. Dans le championnat espagnol de hand, c’est l’anarchie, les salaires ne sont plus versés, vous n’avez que deux ou trois clubs dont vous êtes à peu près certain qu’ils repartiront l’an prochain. Ceux qui sortent l’argument de la fuite des talents croient quoi ? Que c’est une crise économique franco-française ?
Le foot espagnol ne se porte pas si mal…
D’accord, mais vous trouvez normal de payer des joueurs des sommes pareilles dans un pays dont 24% de la population active est au chômage ? Un champion ne vit pas dans une bulle. Il est dans la cité. Et puis, bon, j’entends le discours de certains : «Un joueur n’exerce que douze ans, il faut qu’il mette de l’argent à gauche parce qu’après…» Mais dans le hand ou dans le rugby, à la fin de sa carrière, le mec bosse. Pourquoi les footballeurs y couperaient ? Vous vous posez les bonnes questions, vous redémarrez un projet de vie… Travailler après sa carrière sportive, c’est une chance, pas un drame.
Quid des stars ?
Si le milieu du terrain du PSG Javier Pastore [acheté 42 millions d’euros cet été, record de France, ndlr] s’en va jouer ailleurs, on ne va pas en mourir non plus. Mais je vais vous dire : la star gagnera la même chose quel que soit le taux d’imposition. C’est le génie de l’exception : Madonna, Picasso, Messi [30 millions d’euros par an, primes et contrats pub inclus, ndlr]… Elle apporte la lumière. On ne peut pas faire sans elle. Et une star négocie en net. Le salaire brut, cela regarde le club. Qui ajustera sa politique salariale au détriment des joueurs moyens : ce sont eux qui seraient impactés. Disons qu’un mec à 100 000 euros par mois n’en gagnerait plus que 80 000. Là aussi, j’ai du mal à voir où est le scandale.
Des sportifs de haut niveau pratiquant des disciplines individuelles, comme le tennis, ont déjà choisi l’exil fiscal…
(Il coupe). Pas de soucis. On ne reste pas dans un pays parce qu’il vous permet de protéger le trésor mais parce qu’on y a des amis, qu’on partage des valeurs avec ceux qui y habitent. Donc, qu’ils s’en aillent.