voici un bref résumé de l'étape 10 de notre progression vers Compostelle , ainsi que quelques photos de la journée.
Mardi 24 mai 2011 : Portomarin-Palas de Rei 25 km
Ce matin, réveil de très bonne heure, à 5h 30 ; quinze minutes plus tard, c’est le grand foutoir dans le dortoir, vu le nombre de lits et l’exiguïté du lieu. À 6 h 15, nous avalons le premier café con leche avec les traditionnels tostados.
6 h 30, le coach Laurent, sonne le branlebas. L’escouade des vendéens suit la cohorte de pèlerins chaque jour plus nombreux, pour une heure de montée, puis 10 km de faux plat. Nous doublons le pèlerin italien ; il avance cahin-caha et paie apparemment ses excès de la veille.
À 8 km de l’arrivée, une jolie auberge nous attire pour une pause. Malheureusement, l’hôtesse et patronne du lieu, est antipathique et exécrable. C’est à faire fuir les pèlerins. D’ailleurs nos amies bordelaises testent le mauvais accueil de la dame. Nous les retrouverons à l’étape à Palas de Rei.
Cette étape est l’occasion de rencontres sympathiques au fil des km. Citons : Bénédicte, l’avocate belge qui marche depuis Saint Jean Pied de Port. Pour elle, ce pèlerinage est une pause entre deux séquences professionnelles ; et aussi Francine ROBILLARD (la sœur du québécois qui marche avec nous depuis plusieurs jours). Francine, ressemble à Maryse, elle voyage avec son frère et sa nièce ; elle est mère de trois enfants dont elle a laissé la garde à son mari resté au Québec.
La halte du jour a lieu à la même albergue qu’il y a deux ans ; nous occupons les trois derniers lits. Le programme est toujours le même : douche, lessive, Internet et détente.
CES CHEMINS RAPPELLENT CEUX DE LA BRETAGNE. NOUS SOMMES EN GALICE |
Notre albergue d'un jour |
Jean Pierre se repose sur la place du bourg |
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