Le 5 mai, nous partons vers 7 h 30, pour parcourir
les 23 km prévus. La Galice prend maintenant des allures de Bretagne avec ses
fermes en granit, ses bovins placides, ses chemins creux et ses vallonnements, y compris par endroits ,
les odeurs de lisier.
Heureusement, les forêts d’eucalyptus diffusent leur
parfum caractéristique qui facilite la respiration et aide à la marche. La
météo est au beau fixe et accentue le charme des chemins de terre ombragés.
Vers 13 h, nous arrivons à l’albergue la porta de
Santiago, annoncée deux km avant, sur le chemin par une publicité sonore et un
tableau synoptique quelque peu incogrus. Cette albergue est moderne et
fonctionnelle. Seul bémol, la musique diffusée pour la relaxation des marcheurs
rappelle celle des funérariums, d’après certains.
Ce soir Jacques fête son anniversaire et nous buvons
de la cava ; Laurent un parfait cicérone sur ce chemin, et d’autres auront
fêté également chacun un événement, la fin d’une étape par exemple et plus
généralement le plaisir d’être ensemble. Ainsi, nous apprécions les vins du
Bierzo notamment l’albérinio et la cava, cela va sans dire avec modération.
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| il est beau le chemin |
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| François donne le tempo |
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| A la recherche de la borne 20 km |
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| encore 30 km |
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| Toujours François; il m'accompagne pour cette étape |
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| Un horreo |
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| Jacques apprécie ce chemin |
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| Ajouter une légende |
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| François et Jacques |
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| La borne 20 km est trouvée. |
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| les eucalyptus |
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| Détente et reconstitution des forces à O Pedrouso. |
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