Du 24 au 27 mai, profitant du salon bisannuel "Hôpital Expo", j'ai retrouvé le 24 mai à Paris, quelques amis ultramarins ayant travaillé en Guyane, au Tchad, dans le Pacifique ou ailleurs. Ce fut l'occasion de jolies et sympathiques retrouvailles au Mauritius, un restaurant qui sert des spécialités de l' île Maurice. il y eu bien sûr des échanges entre actifs et retraités, avec un constat: la vie professionnelle des actifs se complique. Bravo et merci à Pierre Gérard, de Icare Ingénierie, et spécialiste des réseaux hospitaliers, pour sa présence assidue à nos rencontres depuis les années 1997 et ultérieures.
Les ultramarins se retrouvent |
Hasard des rencontres: un grand salut à l'ami PALOMBO; nous nous sommes croisés à Hôpital Expo puis à la superbe exposition consacrée à Toutankhamon, merci à toi Laurent pour tes conseils culturels.
Et courage à toi, bravo pour ta patience et ton parcours à la Devos pour sortir de Paris.
Pour le WE, avec François et Rita, nous avons continué les déambulations parisiennes, malgré la chaleur vite handicapante.
Masque de Toutankhamon |
Nous vous conseillons aussi le dernier spectacle de Jérôme SAVARY "La fille à marins" il offre une heure quinze de pur bonheur. La mise en scène est comme toujours surprenante, et captivante. Et il y a Nina, la fille de JS qui merveilleusement accompagnée par Roland Romanelli qui fut notamment l'accordéoniste de Barbara. Vous trouverez la fiche de présentation ci-après et les Critiques sont unanimes pour recommander ce spectacle.
le samedi, Rita et François ont poursuis leurs visites d'expositions, notamment, celle consacrée "au crépuscule des pharaons" au Musée Jacquemart-andré. Voici ci-après une présentation de l'exposition.
DU 23 MARS AU 23 JUILLET 2012Durant les dix siècles qui précèdent la conquête romaine en 30 avant notre ère, l’Égypte fait face à une multitude d’invasions. Le pays est successivement dirigé par des rois libyens (XXIIe dynastie), des « pharaons noirs » d’origine nubienne (XXVe dynastie) et des Perses (à partir de la XXVIIe dynastie), avant que les Grecs ne leur succèdent lors de la conquête d’Alexandre le Grand en 332 avant notre ère.
Du 23 mars au 23 juillet 2012, l’art du dernier millénaire de l’histoire pharaonique (1070-30 avant notre ère) investit le Musée Jacquemart-André. Pour la première fois, une exposition dévoile les trésors de ces dernières dynasties au cours desquelles, au rythme des crises et des invasions, l’Égypte s’est ouverte à de multiples influences. Plus de 100 pièces exceptionnelles, prêtées par les plus grandes collections internationales d’antiquités égyptiennes (l’Ägyptisches Museum de Berlin, le British Museum, le Musée du Louvre, le Metropolitan Museum, le Museum of Fine arts de Boston, le Kunsthistorisches Museum de Vienne…), témoignent de la richesse et de la diversité de l’art égyptien après les derniers Ramsès.
Si la période est troublée sur le plan militaire et politique, l’art égyptien, nourri d’une longue tradition pharaonique, conserve tout son prestige auprès des nouveaux souverains étrangers qui s’en réapproprient les codes, en apportant une légère inflexion à certaines caractéristiques stylistiques. Loin de l’image décadente qu’on lui a longtemps associée, cette époque est celle d’un brillant renouveau artistique : sommet de ce millénaire, la période saïte (672-525 avant notre ère) est considérée comme une véritable renaissance de l’art égyptien. C’est au cours de cette époque saïte, pendant la XXVIe dynastie, que l’Égypte regagne son indépendance, avant que le pays ne soit envahi par les Perses qui forment la XXVIIe dynastie.
Une prospérité économique accompagne cette période d’échanges avec les autres civilisations. Elle permet la construction d’importants monuments qui célèbrent la grandeur de la culture égyptienne.
Issus de tombes ou de temples prestigieux, sculptures et reliefs, sarcophages et masques funéraires, objets de culte et bijoux sont autant d’illustrations de l’art de cette période, qui mêle élégance des proportions, délicatesse des formes et sobriété des détails. Servie par une maîtrise éprouvée de la technique et un goût prononcé pour la pureté des lignes, la production artistique se distingue alors par des réalisations d’une perfection inégalée, tout particulièrement dans le domaine de la statuaire.
Pour moi, ce samedi fut consacré à la découverte de la banlieue chic de l'Est parisien "Ormesson sur marne et Chènevière", pour une visite familiale sympathique.
Samedi soir, retour rue de la Gaité pour un spectacle de la Comédie Italienne: "Arlequin valet de deux maîtres". Je ne suis pas un spécialiste de la Commedia del arte et ne peut pas porter de jugement.
Dimanche, retour en Alsace pour François et Rita, poursuite des visites pour moi, avec notamment un plaisir des yeux et un sentiment étrange de détente et de bonheur en parcourant, MONUMENTA 2012, l'oeuvre de Daniel BUREN au Grand Palais. Vous trouverez ci-après quelques photos prises au cours de la visite.
D Buren et le Grand Palais |
le sacochard en visite |
La verrière du Grand pPlais |
Les disques de l'artiste vus de haut |
Le Grand palais détail d'un palier d'escalier |
Autres couleurs |
Le soir : retour en Vendée.
La galerie de Gobelins |
Moïse exposé sur les eaux |
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